De David Eddings
Ce livre narre l'histoire d'une amitié improbable entre Raphaël Taylor, étudiant brilliant, star du football et soucieux de rendre fier ses parents, et de Damon Flood, étudiant brilliant qui gâche son potentiel par son cynisme et sa révolte contre sa famille.
Tandis que l'un semble être un ange, l'autre joue le rôle de la conscience tentatrice et jettera l'être pur dans les bras langoureux d'Isabelle, une de ses tantes.
Cette dérive semble prendre fin quand, quittant brusquement Damon et sa tante dans un état d’ébriété et de fureur sans conteste, un accident de la route le prive d'une de ses jambes.
Dès sa sortie de l’hôpital, il s'enfuit et de cache à Spokane, petite ville assez laide où tout les exemples de cas sociaux semblent s'être donner rendez vous. Du haut de son balcon, Raphaël les étudie et les collectionne au risque de devenir un des leur.
Cependant, Damon le retrouve et perturbe son train-train habituel en s'installant aussi à Spokane, brandissant bien trop haut le bouclier de l'amitié pour Raphaël.
Le grand risque de ce livre serait de le lire en ayant en tête les épopées de Belgarion et d'Emouchet.
Dans ce livre, le premier de David Eddings, il n'y a pas une trace de fantasy, pas d'acte héroïque, ni même d'humour.
Ce n'est pas une lecture que je qualifierai comme incontournable, l'histoire est un peu poussive et les personnages sont assez plats et je n'ai vraiment accrochés sur aucune d’entre eux.
Ceci dit, je pense qu'il faut prendre l’œuvre pour ce qu'elle est : le premier roman de David Eddings qui s'essayait en tant qu'auteur avant de bâtir des univers complets dans le domaine de la fantasy.
Le grand risque de ce livre serait de le lire en ayant en tête les épopées de Belgarion et d'Emouchet.
Dans ce livre, le premier de David Eddings, il n'y a pas une trace de fantasy, pas d'acte héroïque, ni même d'humour.
Ce n'est pas une lecture que je qualifierai comme incontournable, l'histoire est un peu poussive et les personnages sont assez plats et je n'ai vraiment accrochés sur aucune d’entre eux.
Ceci dit, je pense qu'il faut prendre l’œuvre pour ce qu'elle est : le premier roman de David Eddings qui s'essayait en tant qu'auteur avant de bâtir des univers complets dans le domaine de la fantasy.
Le seul réel reproche que je ferai à ce livre concernerait le mépris parfaitement injustifié du héros (et peut être même de l'auteur) pour les assistantes sociales. Au lieu d'une simple allusion, rapidement oubliée, il revient inlassablement dessus au cours du roman.
Au final, c'est un livre à lire d'avantage par curiosité.
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